Jeudi 2 août 2007 à 1:29
Jeudi 2 août 2007 à 1:14
Jeudi 2 août 2007 à 1:12
Jeudi 2 août 2007 à 0:54
Mardi 31 juillet 2007 à 22:24
Le soleil se couchait. Le ferry arrivait. C'était ce port, sur l'ile de Santorin.
Vendredi 27 juillet 2007 à 19:50
Ils me manquent déjà c'est atroce.
Jeudi 19 juillet 2007 à 1:03
Pour faire en sorte de respecter ce blog , j'ai respecté la continuité des titres..Je ne pense pas être à la hauteur de ton écriture et la mienne me semble superflue ici . .Je pars demain , je pense à toi peut etre plus que tu ne pense à moi , mais je le sais , c'est ton caractère et c'est pour ça que je t'apprécie autant. Ce que j'aime dans notre amitié , c'est notre liberté qu'on se laisse à chacune , le fait que l'on s'aime comme ça sans être dépendante l'une de l'autre. Et liberté est ton mot de passe invité .... alors je me lance, qu'est ce que la liberté ? Liberté ... pouvoir sortir quand on veut , faire ce qu'on veut sans les parents sur le dos , sans contraintes , sans règles ? Liberté... de pouvoir penser ? sommes nous libres de vraiment penser ? sommes nous maître de nos pensées ? ou quelqu'un , un jour , vous a t il guidé ? sommes nous libres ? je ne le crois , je nous crois enchainés tous , quelque part , à quelque chose , quelqu'un , quelque idéal.
Mercredi 4 juillet 2007 à 21:43
Alfred de Musset a dit :
Pourquoi écrire alors qu'on est en train de rater sa vie ?
Mardi 3 juillet 2007 à 23:36
J'ai le moral qui s'installe sur une grande roue. Ca monte et ça descend. Et ça s'arrête jamais. Départ imminent. Qui m'fera énormément de bien qui plus est. J'ai besoin de voir les filles, mais je peux pas. Pas le temps, pas l'argent pour appeler, pas de moyen de transport avec tous ces kilomètres. J'ai besoin de leur parler, j'me sens plutôt mal. Pendant des mois j'ai réussi à tout controler, et là, un weekend trop fort en émotions et tout s'écroule. Et en plus de ça j'me trouve pitoyable. C'est toujours pareil, toujours les mêmes raisons. J'fais tout pour dépasser ce stade, m'en foutre royalement, me persuader, j'essaye de grandir, d'évoluer. J'croyais y être arrivée, on dirait que non finalement. Ca m'ronge et tout ce qui m'entoure fait durer la douleur. Ca n'apaise pas, ça n'amplifie pas, non. Ca continue simplement. Un mot, une chanson, une date. Tout et n'importe quoi. Une phrase dans Grey's Anatomy. Ce qui est très douloureux, c'est de vouloir ce qu'on ne peut avoir. C'est complètement stupide. Et je suis seule, et la solitude n'a jamais aidé. La solitude te renferme sur tes problèmes pathétiques. La paranoïa s'installe, tout ça nous obsède, et on replonge. Vendredi je quitte tout. Je change d'air, de pays, de paysages, de fréquentations. On met tout dans un coin, on enferme tout ça pour trois semaines, et on ne rouvre la boite maudite qu'au retour. En espèrant être passée à autre chose ...
Mardi 3 juillet 2007 à 19:17
Singula de nobis anni praerdantur euntes .
| Horace |
Un à un, les années nous arrachent nos biens .