La vie que nous menons n'a pas de sens. On se démène pour faire des études, puis on s'investit dans un travail. On en change éventuellement, ça nous occupe au moins. On se serre la ceinture pour économiser, réaliser des projets, investir dans des biens. On veut se mettre en couple, mais par pur égoïsme. Etre aimé gonfle le coeur. On croit se sentir mieux, être quelqu'un. Grosse erreur : nous ne sommes personne. Mais passons. Dans le fond, on vit. Sans avoir choisi au départ, donc on fait avec. On mange, on dort, on travaille. On fait la fête parfois, on voit des amis. On est content d'avoir des gens autour de soi, on croit être quelqu'un d'indispensable, ou tout moins d'unique. On fait trop souvent des enfants, pour avoir un rôle indiscutable. En étant parent, on devient quelqu'un pour notre progéniture. Certes.
On peut tout de même en venir à chercher un sens à tout ça. Nos tracas quotidiens ne concernent que nous-même. Les autres feront semblant d'en être préoccupés aussi, mais il n'en sera rien. Et qu'est ce qu'une famille qui se déchire pour plus de 6 milliards d'individus ? Un fait-divers, une histoire qu'on raconte au salon de coiffure.
Nos vies sont dépourvues de sens. On se préoccupe de notre petit bonheur, de notre satisfaction personnelle à vivre.
Tout ceci ne rime à rien.
On peut tout de même en venir à chercher un sens à tout ça. Nos tracas quotidiens ne concernent que nous-même. Les autres feront semblant d'en être préoccupés aussi, mais il n'en sera rien. Et qu'est ce qu'une famille qui se déchire pour plus de 6 milliards d'individus ? Un fait-divers, une histoire qu'on raconte au salon de coiffure.
Nos vies sont dépourvues de sens. On se préoccupe de notre petit bonheur, de notre satisfaction personnelle à vivre.
Tout ceci ne rime à rien.