L'absence de l'objet réel n'est pas synonyme de privation, de souffrance. Au contraire, le désir ne jouit jamais plus de son objet qu'en son absence car le fantasme le parant de toutes les perfections, rien ne peut altérer le plaisir qu'il suscite.
*
*
" Malheur à qui s'abandonne aux pièges du désir non réfléchi ! " car au lieu d'affirmer la puissance d'exister sous la forme de la joie, le désir concourt alors à la mutiler en l'aliénant dans de vaines espérances et des satisfactions chimériques.
Vous allez vous revoir ? Il a répondu ?
J'me demande pourquoi il faut toujours attendre. L'attente est le propre de l'Homme, je crois.
c'est rageant